mardi, décembre 18, 2007

°la magie de Noël

Marie et la magie de Noël
.....

Marie était rêveuse ce matin là, tout autour d’elle lui faisait penser à la magie de Noël, les rues, les maisons et les magasins scintillaient de mille lumières et elle se revoyait enfant songeant aux cadeaux que le papa-noël lui déposait devant ce sapin qu’elle avait décoré avec toute sa famille .
Mais elle était adulte à présent et doutait de la magie de ces instants d’avant.
Pourtant, elle voulait y croire et se dit qu’elle enverrait bien une lettre au père-Noël !
Elle était devant son ordinateur et trouva un site qui lui convenait :
« http://www.pere-noel.com/da.htm » et sur la page d’accueil on pouvait lire : « écrivez votre lettre au père-Noël, il vous répondra ! »
Oubliant son age, elle se décida à écrire, elle savait ce qui lui ferait vraiment plaisir mais n’avait jamais osé le demander à personne, elle commença :

Cher père-Noël, si je me décide à vous écrire cette lettre, c’est que cela me tient vraiment à cœur. Oh, je sais, je ne suis plus une enfant mais j’ai tellement envie d’y croire, et d’ailleurs, j’y crois vraiment au fond de moi.
Voilà, je souhaiterai sur la liste de mes cadeaux, quelque chose de pas habituel, quelque chose que je ne peux demander qu’à vous, quelque chose de bien délicat car d’habitude on ne demande pas ces choses là, je veux parler d’une……heu….comment vous dire ?…je veux parler d’une ‘fessée’ . Oh, je n’ai pas toujours été très sage je vous l’avoue mais je vous promets de faire des efforts.
En vous embrassant très fort,
Marie


Marie cliqua sur ‘envoyé’ et le courrier fut transmit.
Les jours qui suivirent, elle se dit qu’elle était folle de croire à une chose pareil, mais chaque soir, elle s’endormait en pensant à elle ‘la fessée’

Et puis la veille de Noël arriva, tous ses proches étaient là, on buvait, mangeait, riait, s’embrassait, un soir plein d’amour où le bonheur était présent, cela lui faisait chaud au cœur et elle se dit que rien ne manquait ce soir là et qu’elle était heureuse.


Mais en rentrant chez elle après le réveillon, elle ne put s’empêcher de penser à cette lettre envoyée au Père-Noël.

- « il ne m’a même pas répondu » se dit-elle
- « je n’aurais pas ma fessée » puis elle se mit à éclater de rire en pensant à ce qu’elle venait de dire.
- « je ferais mieux d’aller me coucher, allez zou…

Elle s’endormit sans peine plongeant dans ses rêves…….


Elle était là, devant ce beau sapin tout illuminé et remarqua l’étoile du berger au sommet de l’arbre qui penchait un peu. Marie voulu la réajuster et s’aida d’une chaise pour accéder à l’étoile, mais, maladroite, elle s’empêtra dans les guirlandes et tout dégringola.

- « Vilaine fille ! » entendit-elle
-
- « Sais tu ce que tu mérites pour ta maladresse ? »
-
Et sans qu’elle ne réagisse vraiment, elle était sur les genoux du père-Noël !!!

- « mais ! qu’est-ce ? que faites vous ? je…. »
- « tais-toi et goûte un peu à cette fessée que tu espérais tant ! »

la fessée était administrée sans qu’elle ne puisse se débattre d’avantage , elle sentait son fessier s’enflammer et pourtant, quelle étrange sensation de plaisir. Chaque claque rebondissait en vacarme sur ses fesses maintenant bien rouges . quelquefois, les coups étaient moins rythmés et la main devenait caressante, marie sentait une envie de jouissance monter en elle, que c’était bon !
Lorsqu’il eut terminé la correction, le vieil homme lui ordonna de se mettre au coin et de n’en plus bouger jusqu’aux 12 coups de minuit. La belle obéit et lorsque sa punition fût terminée, elle se retourna mais le père-Noël était parti.

Quand elle se réveilla, le rêve était encore très présent, elle pouvait même encore sentir cette sensation de chaleur sur son joli cul. Elle sourit.
En passant dans le couloir qui mène au salon, elle remarqua quelque chose au sol et le ramassa. Troublée, elle reconnut le gant blanc du père-noël de son rêve, celui qu’il avait ôté pour la fesser. Aussitôt Marie souleva sa nuisette devant le grand miroir doré du salon et constata la rougeur de ses fesses !
Et elle se dit toute surexcitée et très émue :

- « la magie de Noël existe encore ! il faut toujours croire en ses rêves »


(Sarahh)

dimanche, décembre 09, 2007

°quatre minutes trente cinq


Nous roulons sur l’autoroute qui mène vers Lille depuis deux heures déjà, je conduis, l’ambiance est détendue mais surtout je suis tout excitée et impatiente de retrouver tous nos amis coquins au point de rendez-vous.

Nous décidons tout de même de faire une petite pause histoire de prendre un café et faire pipi, et puis le rosebud qu’a placé Bienveillant en moi avant de partir commence à me faire un drôle d’effet.

Je me dirige vers les toilettes, mais au moment d’uriner, allez savoir pourquoi, l’objet disparaît à l’intérieur de moi !!!
Tout d’abord je panique, puis je me dis :
- « du calme, c’est arrivé à d’autres, respire, pousse, aide le à sortir, tu vas y arriver, c’est obligé »

Et mon amour qui m’attend dans la station avec les cafés !



Pas de panique, j’introduis mes doigts et arrive enfin à expulser le bijou hors de moi, ouff ! Je nettoie le rosebud, l’emballe dans un mouchoir en papier et le place dans la poche de mon manteau.
J’ai eu peur, je raconte ma petite mésaventure à B. qui sourit, nous avalons nos cafés bien chauds et remontons en voiture, mais cette fois, c’est lui qui conduira.

Après avoir roulé quelques kilomètres, Monsieur avance sa main droite vers ma poitrine et me caresse un sein, le titille, le pince, puis fait de même avec le second, le rosebud avait déjà réveillé mes sens et je sens quelque chose de tout bizarre dans mon bas ventre, j’ai envie de jouer et je viens d’avoir une idée :
Clic ! j’appuie sur le lecteur CD qui envoie la musique : « DIES IRAE » de Karl Jenkins
(cliquez ici pour écouter le morceau)



Bienveillant me caresse toujours et ma main à moi va vers mon sexe, je me caresse en écoutant la musique, 4 minutes trente cinq, c’est la longueur du morceau, et le temps que je me suis donné pour avoir un orgasme !
J’aime cette musique et cette chorale, mon oreille de musicienne perçoit chaque instrument, surtout le violoncelle, c’est moi qui le fais vibrer d’habitude.
Je me cale au tempo….


La musique progresse, je la sens, je rentre complètement en elle, mon corps devient un instrument de l’orchestre.
B continue à m’exciter, il sait exactement comment me toucher et à quel moment il doit pincer ou rouler mes seins entre ses doigts, un expert de mon corps en somme.

Le requiem arrive à la fin, je n’ai pas joui, j’attends les derniers instants, vais-je y arriver ?

Mes doigts agitent maintenant mon clitoris tout humide au rythme de la musique, mon bas ventre est prêt à exploser sa joie et mes jambes gainées de bas se raidissent, mais, pas encore, il reste quelques secondes…



Je me concentre, tout en me laissant aller au plaisir et c’est en harmonie avec tout l’orchestre qu’arrivera l’orgasme, comme pour un point d’orgue il durera jusqu’à ce que le chef d’orchestre, mon Bienveillant mari, repose sa main sur le volant de la voiture.

je sors alors son sexe tout dur et tout chaud de son pantalon que ma bouche gourmande vient envelopper tout entier sur la musique d'Avalon de kenji Kawai.
Nous arrivons à Lille en fin d’après midi et tout le monde nous demande si nous avons fait bonne route……. Nous répondons que oui !

(dessin de paul hess) Sarahh