dimanche, février 24, 2008

°Melle Sarahh, soubrette (première partie)

J'arrivais devant la rue des Valets à 8H55,avec un peu d'avance, c'était une maison de pierre avec les volets bleus, une petite pelouse bien entretenue, et un portillon de fer forgé. j'approchais et malgré mon angoisse, je sonnais à la porte.



Au bout de quelques instants, un homme m'ouvrit, c'était certainement Monsieur B. à qui j'avais envoyé un CV et une lettre de motivation pour ce poste de bonne à tout faire.

-"vous êtes certainement Melle sarahh" me dit-il.


-"c'est bien ça " répondis-je


-"et bien entrez, ne perdons pas de temps, je vais vous faire visiter la demeure"

je suivais Monsieur, un peu anxieuse et curieuse à la fois, c'était mon premier poste de boniche, et je me demandais si j'allais être à la hauteur.


Les unes après les autres, on me fit pénétrer dans chacune des chambres et pièces de la maison, ma chambre de bonne se trouvait au dernier étage, sous les combles, je remarquais un peu de désordre mais rien de bien affolant cependant.

Puis nous nous arrêtons devant une porte et Monsieur me dit:

-"cette pièce est très privée, elle reste fermée à clef, et jamais! vous entendez, jamais! vous ne devrez y entrer, je serais très stricte sur ce point, avez-vous bien compris Melle?"

j'acquiesçais et balbutiais un :

-"oui,Monsieur"

J'avais compris et bien compris mais déjà, ce mystère me troublait.

Puis il me demanda de lui porter "la cloche" posée sur un petit meuble de bois:

-"lorsque vous entendrez cette cloche, vous devrez venir à moi immédiatement, je n'aime pas attendre, souvenez vous en"
-"oui Monsieur" dis-je encore une fois

Puis il me dicta les règles de la maison, certaines me semblaient un peu bizarres,comme "vous devrez être très gentille avec certains de mes amis"ou encore"je vous demanderais d'être très docile et de vous soumettre à mes moindres désirs" mais je ne relevais pas car j'étais là pour apprendre, j'écoutais chacune des règles et des consignes puis le maître de maison me demanda de lui apporter son café au lit.


Monsieur B. avait l'air d'être quelqu'un de juste et il n'avait pas un physique désagréable, je me dis alors que je devrais me plaire ici, et commençais mes tâches ménagères.

Monsieur sonnait souvent la cloche, soit pour demander un verre d'eau, soit pour me faire une dernière recommandation, puis je dû lui montrer mes dessous qu'il trouvait impeccables.



-"Approchez melle, approchez, ne soyez pas timide, je souhaite évaluer vos compétences, montrez comme vous savez vous adapter à toutes les situations, vous disiez dans votre lettre être soumise aux moindres de mes désirs, il est temps de me le prouver"
J'osais alors prendre le sexe de Monsieur entre mes mains, je le caressais, puis le léchais tout en me disant que cela n'était, après tout, pas du tout désagréable, et puis il avait l'air satisfait, j'avais toutes mes chances de garder ma place.









Vers 10H30, Monsieur me demanda de lui porter son chapeau, car il devait sortir, mais avant de partir il me fit une dernière recommandation:

-"je n'en ai pas pour trés longtemps melle, continuez vos tâches et tiens! faites donc les vitres, elles sont vraiment sales ...ah...oui,j'allais oublier, rappelez-vous qu'il est strictement interdit d'aller dans la pièce défendue au premier étage"

Sur ce il partit.....
je commençais donc par nettoyer les vitres mais quelque chose me perturbait:"qui y avait-il donc dans cette chambre interdite?", je brûlais d'y aller voir mais je me dis que j'étais bien trop curieuse et continuais mon travail.




Monsieur B. n'en n'eut pas pour trés longtemps,j'entendais déjà qu'il garait son véhicule dans la cour, puis il entra:

-"tout s'est bien passé pendant mon absence Melle?"
-"oui Monsieur" répondis-je
-"cependant" ajoutais-je "j'aurais bien aimé faire un peu de nettoyage dans la chambre rouge, elle ne doit pas être nettoyée très souvent"

Et là je vis le regard de cet homme devenir sévère:

-" la chambre ROUGE? comment savez vous qu'elle est rouge, je ne l'ai point spécifié! Vous avez fouillé sale petite curieuse"

-"...non, non, je vous assure...euh...je l'ai deviné"

-" Et menteuse avec ça! vous serez punie pour cette faute"

J'étais pétrifiée, il criait , s'emportait:

-"Ahhh, vous vouliez voir la chambre défendue, et bien soit, vous allez la voir, et vous vous en souviendrez, croyez moi"

Il me poussa vers l'escalier qui montait jusqu'à la chambre,me fit entrer, et me demanda de me mettre à genoux sur une sorte de "prie dieu"

Je pleurais et le priais de bien vouloir me pardonner, mais il ne voulait rien entendre, je devais être punie et il ne reviendrait pas là dessus.

-" méditez melle, méditez bien et comptez avec moi les coups de canne que je vais vous administrer"
"non, pitié, pas la canne" pleurais-je

-"comptez vous dis-je, jusqu'à DIX, cela devrait suffire pour une première fois"

-"un....aïe, deux, oufffff"
-"trois, ouille"

je pleurnichais tout en comptant les coups, certains me coupaient le souffle, mais il ne céda pas et j'eus mes dix coups de cannes.

j'eus la force de dire:

-"merci Monsieur, merci de m'apprendre à être une bonne à tout faire exemplaire, je saurais retenir la leçon"

-"très bien" dit il, et ce fut tout.

Je retournais à mes occupations en me frottant les fesses toutes chaudes, puis allait me regarder dans la glace:

-"humm, finalement ça n'était pas si désagréable, et cela laisse de belles marques rouges, monsieur à peut être raison de me punir ainsi"








le soir de ma première journée, je me couchais en me disant que j'allais me plaire prés de ce maître qui me troublait tant et auprés duquel je me sentais si petite, je fermais les yeux et m'endormais comme un bébé.



Melle sarahh, au service de monsieur